đŸ‘» Le TDAH : une fausse maladie ?


Le TDAH est-il une fausse maladie ? đŸ‘»

Salut Reader et bienvenue dans cette 35Ăšme Ă©dition du Weekly Focus !

Aujourd'hui, on va parler d'une idée reçue qui a la peau dure et qui fait du mal à beaucoup de TDAH : que c'est une fausse maladie, qui est la conséquence de la société dans laquelle on vit.

C'est cet argument qui bloque beaucoup de personnes dans l'obtention d'un diagnostic et du traitement adapté.

Pour dĂ©mĂȘler le vrai du faux, on va faire un peu de philosophie.

N'aie pas peur, je te guiderai tout au long de ma réflexion !

Mais avant ça, place aux actus de semaine đŸ”„


📰 Actus de la semaine

💊 L'avancĂ©e du projet de complĂ©ments alimentaires

L'élaboration de la formulation du complément est en cours.

J'ai rencontré mes avocats ainsi que le dirigeant du laboratoire français en charge de mettre en oeuvre le projet.

Mais pour que ce projet devienne réalité, j'ai besoin de ton aide.

Avant de lancer la production, j'aurai besoin de tes retours et, par la suite, d'une pré-commande de ta part.

Pour le moment, je ne te demande qu'une chose : remplir ce petit formulaire pour me partager ton intĂ©rĂȘt pour le projet, et te tenir informĂ©.e de la suite en temps voulu :)

🎁 En cadeau : une rĂ©duction Ă  vie sur la future gamme !

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đŸŽ„ Le 1er "Live avec Micka" a eu lieu, et c'Ă©tait gĂ©nial !

Un format question/réponse en toute tranquillité, entre nous.

1h de partages et d'astuces concrÚtes pour mieux gérer son quotidien avec le TDAH.

L'avantage de ce format : tu peux venir et partir quand tu veux car pas de présentation à suivre.

​Pour accĂ©der au replay, c'est juste ici.​

Et le prochain aura lieu jeudi prochain, le 23 mai, de 12h30 Ă  14h.

Le but : un format flexible. Pas besoin d'ĂȘtre prĂ©sent tout du long pour t'inscrire et poser tes questions.

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đŸŽ™ïž Un nouvel Ă©pisode de mon podcast Jus de Cerveau est disponible !

Chapitre 6 : La révolution psychédélique

Je précise que le contenu de l'épisode n'est que du divertissement et du partage d'expérience, et ne consiste ni en des conseils médicaux, ni en la promotion de substances par ailleurs illégales dans de nombreux pays. En cas de questions sur le sujet, c'est d'abord et avant tout au professionnel de santé qui vous suit qu'il faut en parler.

"Moi, ça fait longtemps que je voulais refaire une expérience avec de la psilocybine. J'en ai pris deux fois, une fois en 2017 et une fois en 2019. Une fois c'était plutÎt bien passé, l'autre fois pas trÚs bien, la deuxiÚme. Donc j'appréhendais un petit peu le fait de le refaire un jour.
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Et le fait que cette opportunitĂ© arrive, avec une personne de confiance qui peut m'assister pendant l'expĂ©rience, c'est quand mĂȘme beaucoup plus rassurant et beaucoup plus safe que de le faire seul. Ce qui est d'ailleurs la mauvaise pratique typique. Il ne faut jamais, jamais faire ça seul. Jamais. C'est vraiment la rĂšgle basique, numĂ©ro 1."

Pour découvrir l'épisode entier, c'est par là :

Pense Ă  t'abonner pour ne pas rater les prochaines sorties :D Et si ça te plait, pense Ă  laisser une note et un avis đŸ«¶

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đŸ—žïž Mon interview exclusive avec Raff de IntensĂ©ment Podcast est sortie !

Le 27 mars dernier, j'ai eu le plaisir d'ĂȘtre invitĂ© sur IntensĂ©ment Podcast, le podcast qui traite de toutes les neuroatypies, aux cĂŽtĂ©s de RaphaĂ«l - aka Raff !

Une interview complÚte, authentique et sans tabou, autour de mon parcours, de mes expériences et de mes apprentissages !

J'y parle aussi des liens entre TDAH et entrepreneuriat :

"C'est fascinant de voir combien l'entrepreneuriat fonctionne bien pour nous, les personnes avec TDAH. Nous avons une variété de projets, on apprécie faire les choses à notre sauce et on cherche constamment la nouveauté, l'adrénaline, et bien sûr, la dopamine.
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Ce qui m'a poussĂ© vers l'entrepreneuriat, c'Ă©tait une attirance naturelle, inconsciente, sans mĂȘme savoir que j'avais un TDAH au dĂ©part. Je pense que cette libertĂ© de structurer son travail et d'ĂȘtre constamment stimulĂ© est particuliĂšrement compatible avec notre mode de fonctionnement. Mais il y a aussi des dangers..."

Pour y accĂ©der, c'est par lĂ .​

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J'en profite aussi pour te (re)partager l'interview que j'avais rĂ©alisĂ©e avec KmĂ©o en novembre dernier. C'est par ici.​

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Et maintenant, l'article du jour 👇

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Le TDAH est-il une fausse maladie ? đŸ‘»

Sommaire :

1) Introduction

2) Le texte de Canguilhem

3) La nature biologique vs sociale des maladies

4) L'importance des perceptions individuelles

5) Les rÎles du patient et du médecin dans le parcours de guérison

6) Conclusion


1) Introduction

On imagine la maladie comme quelque chose de biologique, d'objectif.

​La semaine derniĂšre, je parlais du nouveau paradigme de comprĂ©hension du TDAH, qui passe d'une conception biologique Ă  une conception plus intĂ©grative qui prenne aussi en compte la place de l'environnement et du contexte social dans le trouble.

En effet, les conditions sociales peuvent parfois ĂȘtre Ă  la source de l'apparition de certaines maladies :

  • le scorbut du marin Ă  l'Ă©poque des explorateurs, dĂ» aux carences de vitamine C liĂ©es au rĂ©gime alimentaire sur les bateaux
  • les Ă©pidĂ©mies liĂ©es Ă  l'hygiĂšne des quartiers ouvriers Ă  l'Ă©poque de la rĂ©volution industrielle
  • aujourd'hui avec le TDAH, dans un monde oĂč notre attention est toujours plus sollicitĂ©e

Mais si le "social" a un impact sur l'apparition d'une maladie, peut-on en conclure :

  • que la maladie en question n'existe pas ?
  • que d'en traiter les symptĂŽmes est inutile tant qu'on n'en traite pas la source ?
  • que se focaliser sur la maladie est une maniĂšre de se dĂ©responsabiliser de son propre rĂŽle dans l'apparition de la maladie en question ?

Un sujet vaste et complexe dont beaucoup d'adversaires du TDAH profitent pour défendre des thÚses dangereuses.

Pour eux, le TDAH est une fausse maladie, dont on envisage trop peu la genĂšse sociale. Ils en tirent deux conclusions :

  • le traitement mĂ©dicamenteux ne traite pas le problĂšme Ă  la source, c'est donc un effet de mode liĂ© Ă  l'industrie pharmaceutique
  • le focus biologique du TDAH a pour consĂ©quence de dĂ©responsabiliser les diffĂ©rents acteurs concernĂ©s

Il y a beaucoup Ă  dire pour contredire ces articles. L'Ă©dition d'aujourd'hui n'a pas pour vocation d'en faire une critique exhaustive.

(La bonne nouvelle, c'est que j'ai eu du mal Ă  trouver ces 2 articles : c'est plutĂŽt bon signe).

Je vais me focaliser sur l'hypothÚse sociale du TDAH, et pour m'y aider, je vais convoquer un penseur français méconnu : Georges Canguilhem.

Philosophe et médecin, Canguilhem a écrit dans la deuxiÚme moitié des années 1900.

Dans un de ces textes, intitulĂ© sobrement "Les maladies" (Écrits sur la mĂ©decine), il traite justement des causes sociales vs biologiques des maladies.

Le passage que je vais commenter aujourd'hui est particuliĂšrement parlant. Je vous le partage maintenant. Si tu ne comprends pas tout, pas d'inquiĂ©tude : je le commente en dĂ©tail juste en dessous 👇
​

2) Le texte

"Ne doit-on pas reconnaĂźtre des causalitĂ©s d'ordre sociologique dans l'apparition et le cours des maladies mĂȘmes ? [...]

Quelque importance qu'on doive reconnaĂźtre au mode de vie, liĂ© aux conditions de travail, dans la multiplication des situations pathologiques, par exemple du fait de l'Ă©puisement musculaire ou de la dĂ©rĂ©gulation des rythmes fonctionnels, il est abusif de confondre la genĂšse sociale des maladies avec les maladies elles-mĂȘmes.

L'ulcĂšre de l'estomac, la tuberculose pulmonaire sont des maladies dont le tableau clinique ignore qu'elles peuvent ĂȘtre l'effet de situations de dĂ©tresse individuelles ou collectives.

MĂȘme si les travaux de l'horloger ou les devoirs de l'Ă©colier sont des rĂ©vĂ©lateurs des dĂ©fauts de la vision, plus que ne l'est la garde des moutons, on n'ira pas jusqu'Ă  dire que les malades de la vue sont des faits sociaux.

Il y a pourtant des cas oĂč le recensement et l'Ă©valuation des facteurs de maladie peuvent prendre en considĂ©ration le statut social des malades et la reprĂ©sentation qu'ils en ont.

Pour utiliser un vocabulaire mis à la mode par les travaux de Hans Selye, disons qu'on peut inscrire parmi les formes pathogÚnes du stress, c'est-à-dire d'agression non spécifique, la perception par l'individu de son niveau d'insertion dans une hiérarchie d'ordre professionnel ou culturel.

Le fait de vivre la maladie comme une dĂ©chĂ©ance, comme une dĂ©valorisation, et non seulement comme une souffrance ou rĂ©duction de comportement, doit ĂȘtre tenu pour l'un des composants de la maladie elle-mĂȘme."

​

3) Nature biologique vs sociale des maladies

Comme on l'a présenté en introduction, certaines maladies ont des causes sociales. Mais quelles conclusions tirer de ce constat ?

Pour Canguilhem, mĂȘme si les causes d'un trouble ne sont pas seulement biologiques ou hĂ©rĂ©ditaires, ça n'a pas de sens de dire que la maladie n'existe pas.

Pendant longtemps, et encore aujourd'hui, les spécialistes du TDAH mettent en avant les aspects génétiques du TDAH pour démontrer l'existence réelle du trouble.

En réalité, on sait qu'il est causé par un savant mélange de génétique (inné) et d'environnement (acquis). Mais ça n'invalide pas son existence.

Canguilhem donne un exemple parlant : Ă  l'Ă©poque des bergers, le fait d'ĂȘtre myope ne posait pas de problĂšme, personne ne s'en inquiĂ©tait, personne n'avait mĂȘme conscience d'avoir le trouble.

Depuis que la société a évolué et que de nouvelles tùches et besoins sont apparus, la myopie peut poser problÚme : pendant la lecture, l'écriture, ou la réalisation de tùches minutieuses.

Mais de lĂ  Ă  affirmer que "les malades de la vue sont des faits sociaux", il faut oser le pas.

C'est pourtant ce que font ceux qui défendent l'hypothÚse sociale du TDAH.

​

4) L'importance des perceptions individuelles

Toutefois, les répercussions sociales de la maladie peuvent parfois faire partie intégrante du trouble.

C'est encore plus vrai dans le domaine de la santé mentale : on parle du "retentissement".

Par exemple, avoir un TDAH crée des troubles du systÚmes exécutif qui se répercutent :

  • au travail
  • dans nos relations
  • dans nos Ă©tudes...

Et c'est intéressant car Canguilhem prend aussi l'exemple d'un autre trouble "à la mode" à son époque : le stress.

Le stress est un concept large et assez diffus. Il peut y avoir du bon stress et du mauvais stress.

Pour diagnostiquer le mauvais stress, on peut prendre en compte la situation sociale de la personne qui en souffre, et sa perception de la situation.

Se sentir en décalage, déphasé par rapport aux autres, ou carrément à la ramasse, c'est ça, "la perception par l'individu de son niveau d'insertion dans une hiérarchie d'ordre professionnel ou culturel."

Nous voulons tous "rĂ©ussir" et gagner au jeu auquel nous avons (plus ou moins) choisi de jouer : la dĂ©finition de la rĂ©ussite diffĂšre pour tout le monde, mais le simple fait d'ĂȘtre en vie nous donne naturellement cette envie de gagner. C'est le rĂŽle de nos Ă©motions que de nous motiver.

Il existe des structures cérébrales qui ont pour seul but de situer notre position relative aux autres dans la hiérarchie d'un groupe social.

Quand un trouble nous bloque dans cette quĂȘte qui nous anime, alors ce trouble existe, et mĂ©rite d'ĂȘtre pris au sĂ©rieux et traitĂ©.​
​

5) Les rÎles du patient et du médecin dans le parcours de guérison

Quand on va voir un psychiatre pour un diagnostic de TDAH, ce n'est pas pour obtenir une Ă©tiquette qui confirme qu'on n'y peut rien.

C'est parce qu'on sent qu'on n'arrive pas à faire ce qu'on veut faire, qu'on se sent bloqué, qu'on se sent nul, incapables par rapport à ce que les autres font. Et qu'on veut trouver une solution contre ça.

C'est "le fait de vivre la maladie comme une déchéance, comme une dévalorisation" qui nous pousse à creuser le sujet du TDAH et à chercher des solutions.

Et peu importe si c'est liĂ© Ă  un jeu social de notre Ă©poque (comme par exemple l'entrepreneuriat), ça n'empĂȘche pas que ce sentiment "doit ĂȘtre tenu pour l'un des composants de la maladie elle-mĂȘme."

Ça mĂ©rite d'ĂȘtre Ă©coutĂ©, compris et pris en charge. Et de proposer les solutions les plus efficaces possibles : mĂ©dication, psychothĂ©rapie, coaching, mentorat...

Bien sûr, dans le cas du TDAH, la médication n'est pas une solution miracle.

Mais elle est une base trÚs souvent nécessaire qui va permettre de travailler + efficacement sur les aspects de sa vie qu'on veut améliorer (rapport aux autres, projet professionnel / entrepreneurial, gestion des émotions, connaissance de soi...).

​

Prendre conscience de ses limites, ce n'est pas se résigner, ce n'est pas se déresponsabiliser.

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C'est au contraire un chemin qui permet d'avoir accÚs aux soins nécessaires pour pouvoir avancer et se réaliser.

Comme l'a dit Canguilhem dans un autre texte : "La part que le mĂ©decin peut prendre Ă  la guĂ©rison consisterait, une fois prescrit le traitement requis par l’état organique, Ă  instruire le malade de sa responsabilitĂ© indĂ©lĂ©gable dans la conquĂȘte d’un nouvel Ă©tat d’équilibre avec les sollicitations de l’environnement."

Autrement dit, le médecin doit aider le patient à prendre en main sa guérison.

La guérison, c'est développer sa capacité à faire face aux adversités de son environnement pour s'y épanouir.

C'est l'objectif de tout ĂȘtre vivant, et encore plus le nĂŽtre en tant qu'humains qui vivons dans des environnements si complexes et changeants.

On veut répondre à cette question si profonde : "Qu'est-ce que je dois faire ?"

N'en déplaise aux fans de sciences dures, cette question "morale" concerne aussi le médecin et le biologiste.

Comme le dit Kurt Goldstein, pionnier de la neuropsychologie moderne (1878-1965) : "La biologie a affaire Ă  des individus qui existent et tendent Ă  exister, c’est-Ă -dire Ă  rĂ©aliser leurs capacitĂ©s du mieux possible dans un environnement donnĂ©."

C'est notre devoir moral de rĂ©aliser son potentiel. Il n'y pas de rĂ©ponse toute faite. Et parfois, il faut savoir demander de l'aide aux bonnes personnes pour ĂȘtre guidĂ©.

J'espĂšre que tu m'as suivi jusque lĂ  😉 Faisons maintenant un petit rĂ©cap de tout ce qu'on a vu ensemble aujourd'hui.
​

6) Conclusion

Étudier un trouble, ce n'est pas seulement connaütre ses causes.

MĂȘme si le mĂ©decin s'intĂ©resse aux causes lors du diagnostic, c'est avant tout pour dĂ©terminer la stratĂ©gie optimale pour pouvoir avancer et crĂ©er les conditions favorables au changement.

Pour à terme, travailler sur sa personnalité et mettre en place de nouvelles habitudes de vie.

Dans le cas du TDAH, ce n'est pas se réfugier derriÚre une étiquette, mais c'est obtenir un traitement et l'accÚs à des professionnels (psychiatres, psychothérapeutes, coachs, mentors...) qui nous aident à réaliser notre plein potentiel.

Dans l'idéal, bien sûr qu'un travail de prévention, avec les parents, l'école, et la formation des professionnels de santé, serait nécessaire pour éviter de rencontrer des problématiques à l'ùge adulte.

Mais il ne faut pas pour autant dénigrer le trouble, semer le doute et faire peur à celles et ceux qui en souffrent aujourd'hui.

Peu importe que les causes puissent ĂȘtre sociales, pour ma part, la mĂ©dication a changĂ© ma vie.

Et c'est aussi le cas de l'extrĂȘme majoritĂ© des TDAH que je connais.

Certes, la médication n'apprend pas de compétence. J'ai dû travailler à cÎté de ça.

Mais les compétences et les connaissances ne changent pas la chimie du cerveau.

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Quand ce sera le bon moment pour toi, voici comment je peux t'aider :

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Pour creuser la piste du diagnostic de TDAH :

Tu peux prendre un rdv visio chez mon psychiatre pour partager tes difficultés, tes questionnements, et clarifier ta situation (tarif pris en charge en partie par la sécu et ta mutuelle).

Tu peux aussi prendre rdv si tu es dĂ©jĂ  diagnostiquĂ©, et souhaites ĂȘtre suivi chaque mois !
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Pour réserver un appel avec moi :

J'ai créé ma Hotline privée.

Pendant 45mn avec moi, en visio ou par téléphone, on aborde tous les sujets que tu souhaites et tu repars avec un vrai plan d'action concret.

Le parfait avant-goût d'un accompagnement avec moi, sans engagement, 100% valeur !

Pour en savoir plus, c'est juste ici :


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C’est tout pour cette semaine !

N’hĂ©site pas Ă  rĂ©pondre directement Ă  ce mail pour partager tes ressentis, questions, remarques, ou idĂ©es de sujets : je lis et rĂ©ponds Ă  tous les messages 💌

Tu peux aussi transmettre ce mail à un ami si tu penses que ça peut l'intéresser.

Je te souhaite une bonne semaine et Ă  dimanche prochain !

Micka

PS : Tu peux accĂ©der aux prĂ©cĂ©dentes Ă©ditions en cliquant ici.​

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NB : Je ne suis pas un professionnel de santĂ©, mais je suis personnellement touchĂ© par ce trouble. MĂȘme si je me base autant que possible sur des connaissances scientifiques fiables, ce contenu a pour but le divertissement, dans lequel je partage mon expĂ©rience, et ce que j’écris ne constitue aucunement des conseils mĂ©dicaux. Pour tout conseil mĂ©dical, tu dois te rĂ©fĂ©rer au professionnel de santĂ© qui te suit.


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